Ainsi donc, Dieu nous annonce depuis des centaines d’années qu’il allait envoyer quelqu’un mourir pour que nous soyons pardonnés de notre péché, notre opposition à Dieu.
Ce message qui nous paraît étrange, demande une confirmation exceptionnelle :
C’est là ce que je vous disais lorsque j’étais encore avec vous, qu’il fallait que s’accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes. Alors il leur ouvrit l’esprit, afin qu’ils comprennent les Écritures. Et il leur dit : Ainsi il est écrit que le Christ souffrirait, et qu’il ressusciterait des morts le troisième jour, et que la repentance et le pardon des péchés seraient prêchés en son nom à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. Vous êtes témoins de ces choses. Et voici, j’enverrai sur vous ce que mon Père a promis ; mais vous, restez dans la ville jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’en haut. (Luc 24.44-49)
Ces paroles que nous venons de lire sont les paroles de quelqu’un qui est revenu de la mort. Il n’a pas eu une expérience de mort imminente, il est mort, réellement mort, pendant trois jours. C’est le sort logique de tout crucifié.
Quelle confirmation ! Jésus leur parle parce qu’il a vaincu la mort et son pouvoir. La mort n’a pu le retenir. La résurrection de Jésus est la garantie de l’authenticité de son message. Dieu l’a ressuscité pour montrer qu’il approuve le message de Jésus.
Mais, si ce miracle est central, il n’est pas le dernier, un autre miracle nous est promis dans ces paroles, un miracle que nous aborderons la prochaine fois.
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